Bruxelles, avons-nous un problème avec l'EUDR ?

Cette publication a envoyé une liste de questions au service du porte-parole de la Commission européenne pour clarifier l'impact de l'EUDR sur le secteur du cacao. Ces questions sont toutefois restées sans réponse, suscitant des inquiétudes quant à la transparence du processus.

Répartition du DRUE

  • Les opérateurs travaillant dans le secteur du cacao et d'autres produits tels que le café, le bétail, l'huile, le palmier, le caoutchouc, le soja et le bois doivent fournir des preuves suffisantes de non-déforestation dans les cultures d'où proviennent leurs produits, dès le 31 décembre 2020.
  • Les produits qui ne satisfont pas aux nouvelles exigences de diligence raisonnable sont interdits de commercialisation sur le marché de l'UE après le 30 décembre 2024.

ConfectioneryNews a également rapporté les commentaires de Zoe Druilhe, responsable politique de la Commission européenne, lors de la Semaine du cacao d'Amsterdam en février, selon lesquels il n'y avait pas de « plan B », même si l'inconnue la plus importante était l'impact des nouvelles règles sur les agriculteurs. Elle a rassuré le secteur du cacao sur le fait que la « Team Europe » publierait de nouvelles orientations, qui n'ont pas encore été publiées.

Alors, quoi de neuf?

Dans une exclusivité, Palm Oil Monitor a rapporté que Sabine Weyand, la directrice générale du commerce de la Commission européenne, avait carrément remis en question la manière dont le bloc gérait l'EUDR avec ses partenaires commerciaux.


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